La JDA n’attend pas un quart-temps pour rentrer dans son match. Dès les premières minutes, les hommes de Jean-Louis Borg mettent de la vitesse et de l’agressivité. L’homme fort de ce début de match est Antoine Mendy. A lui seul, il met en orbite son équipe avec 7 points inscrits dans les cinq premières minutes du match.
Dijon survole la première période
Derrière Walker (Dijon) et Curti (Dijon) sont intenables et posent de gros problèmes à la défense parisienne qui ne sait plus où donner de la tête. En face, Paris-Levallois souffre énormément. A l’image des coéquipiers du capitaine Zach Moss la semaine dernière, les joueurs parisiens manquent cruellement d’adresse et d’efficacité offensive. Que ce soit à trois points où dans la raquette: rien ne rentre… cela ajouté à un manque total de concentration et d’agressivité en défense, bref, Dijon maîtrise totalement cette première mi-temps. (40-21, 20′)
La JDA maîtrise le match
Le troisième quart est un copier-coller de la première mi-temps. Les Dijonnais combinent toujours aussi rapidement dans la défense du Paris-Levallois. Les Parisiens sont perdus et n’arrivent pas à trouver la parade. Cette vitesse incarnée par Walker et Curti, donne toujours le tournis aux défenseurs adverses. La défense des hommes de l’entraineur parisien, Grégor Beugnot, est complètement absente. Des carences qui coûtent chères et font grimper l’écart. (62-38, 30′)
Un dernier quart plus brouillon
Avec 24 points d’avance à 10 minutes de la fin, les Bourguignons se relâchent un peu. Du coup, les Parisiens vont en profiter pour réduire l’écart et tenter l’exploit de revenir. La JDA est moins précise dans ses transmissions et rechute dans son inefficacité de la semaine passée. Sur le côté, Jean-Louis Borg n’apprécie pas ce scénario et remobilise ses troupes qui repartent de l’avant et retrouvent fluidité et mobilité dans le jeu. Paris y aura cru le temps de quelques minutes, mais en vain. Au final, Dijon s’impose logiquement 77 à 58 et se repositionne dans le haut du tableau.